mon roman fantastique

bon voila moi comme certain d'entre vous le save j'ecris un roman fantatique comme on peut poster ici nos chef d'oeuvre (bin que je considere pas mon histoire comme un chef d'oeuvre) j'avais envie de le faire faire partager avec tous le monde donc voila le premier chapitre

Chapitre 1

Les pas du bourreau sur l’estrade résonnaient dans l’air, la foule massée autour de la guillotine retenait son souffle. Elisabeth, Morgane et Alice n’entendaient plus rien de ce qui se passait à côté d’elles, elles ne voyaient plus que les visages de leurs parents qui allaient se faire tuer. L’homme masqué empoigna le père d’Alice, lui mit une cagoule, ensuite il le força à mettre sa tête en dessous de la lame, le bourreau se recula, sorti son épée et trancha la corde qui libéra la lame qui descendit dans un sifflement et s’arrêta dans un son sourd. La tête du père d’Alice tomba alors dans le panier, pendant que le sang coulait sur le bois de la guillotine et entre la lame du plancher de l’estrade. Il arriva la même chose aux trois autres parents, les trois petites filles restèrent immobiles de frayeur, leur larmes coulaient sans un bruit sur leurs joues. C’est alors qu’un homme avec une balafre sur la joue s’approcha du seigneur du village qui se trouvait sur l’estrade, il lui dit quelques mots à l’oreille, le visage du maitre d’Atlantiqua se tourna alors vers Morgane, Elisabeth et Alice et quand il les eut reconnue, il ordonna à ses hommes de les capturer. Elisabeth remarquant ce qui ce passait, prévint les autres, elles se frayèrent un passage à travers la foule et se mirent à courir vers la sortie du village, suivit de près par les soldats, les portes du village commençaient à se fermer pour les empêcher de passer mais comme elle était lourde, elles purent sortirent de justesse, elles traversèrent la plaine en courant le plus vite possible, Elisabeth se retourna et vit que les soldats étaient loin derrière. Elles rentrèrent alors dans la forêt. Quand aux gardes ils s’arrêtèrent à la lisière, car selon la rumeur un puissant magicien y habitait.
Les trois filles hors d’haleine, s’arrêtèrent dans une clairière où passait un petit ruisseau, Morgane vérifia si elles n’étaient pas suivies, puis s’assit à côté d’Alice qui pleurait. Elisabeth alla s’asseoir près du ruisseau pour se rafraichir. Apres s’être passé de l’eau sur le visage, elle vit quelque chose briller, elle plongea sa main dans l’eau et en sorti une chaine avec un pendentif. Le pendentif était en forme de goutte et en son centre il y avait un saphir qui quand Elisabeth le prit en main se mit à briller, fascinée par la lumière qu’il dégageait, Elisabeth ne pouvait plus le quitter du regard. Il fallu que Morgane l’appelle pour qu’elle reprenne ses esprits, elle passa la chaine à son cou et retourna près des autres.

- « Que fait-on maintenant ? » Demanda Morgane.

- « On ne peut plus retourner au village, il va falloir d’abord trouver un endroit pour dormir puis demain on continuera notre chemin pour aller autre part.» Répondit Elisabeth

-«Avec papa on allait souvent dans la forêt et quand il pleuvait on allait dans une grotte. » Expliqua Alice.

-« Alors allons-y. »

Elles reprirent la route, suivant Alice, pour trouver la dite grotte. Elles la trouvèrent juste avant la nuit. Elles ne mangèrent pas et finirent par s’endormir l’une contre l’autre pour ne pas avoir froid. Le lendemain, elles reprirent la route, le ventre creux, sur le chemin elles trouvèrent des fraises sauvages qu’elles mangèrent avec avidité.
Apres un long parcours de plusieurs lieues, elles s’arrêtèrent pour se reposer. Alice se coucha au pied d’un arbre, elle se tourna sur le côté et elle vit dans le trou d’un arbre voisin, une étrange lumière, elle s’y dirigea comme hypnotisée, elle passa la main dans le trou et en sortit une chaine avec un médaillon, il était de forme ronde avec au centre une émeraude qui dégageait une agréable chaleur. Elle passa la chaine à son cou puis rejoignit les autres pour reprendre la route. A midi, elles firent une pause mais elles ne mangèrent pas de nouveau, le soir venu, elles s’installèrent dans une clairière et firent un feu, là elles mangèrent des baies puis s’endormirent.
Le matin, au déjeuner, elles mangèrent encore un peu de baies puis elles continuèrent leur route. Après avoir fait une vingtaine de lieues, elles trouvèrent un aigle blessé à l’aile, elles s’arrêtèrent alors pour qu’Alice puisse le soigner. Elle lui immobilisa l’aile en lui faisant une attelle et lui donna un peu à manger, sur sa peau, elle sentit son médaillon dégager la même chaleur que quand elle l’avait trouvé. Après cela elles se remirent en route et à la recherche d’un endroit pour dormir, elles finir par trouver une grotte, où elles s’installèrent.
Pendant la nuit, il eut un violent orage, le tonnerre grondait dans le noir tandis que les éclairs fendaient le ciel, soudain l’arbre à l’entrée de la grotte s’embrasa.
Morgane fut la première à se lever, en sortant de la grotte, elle regarda les restes de l’arbre et elle y vit quelque chose d’étrange, quelque chose de brillant, elle s’approcha, bouga un peu les cendres et en retira un collier avec un pendentif en forme de flamme avec un rubis, après l’avoir mis, elle sentit dans tout son corps une énorme chaleur. Elisabeth et Alice la rejoignirent peu de temps après, elles se mirent alors en route. Elles finirent par arriver dans une clairière, où se trouvait une petite cabane, elles s’approchèrent prudemment et frappèrent à la porte, il eut d’abord un long silence puis elles entendirent des bruits de pas, la porte s’ouvrit et elles virent apparaître dans l’espace de la porte, un vieil homme, avec une barbe blanche, il était habillé d’une bure bleue marine, l’étonnement se lisait sur son visage ridé.
Les médaillons des trois filles se mirent à briller, l’homme de la cabane sourit et les laissa entrer dans sa maison. Il leur donna a manger et pendant ce temps il leur prépara un lit chacune pour qu’elles puissent dormir.
Le lendemain quand elles se levèrent le petit déjeuner était déjà préparé et les attendait sur la table, ainsi que le vielle homme.

-« Bonjour. » Dit-il.

-« heu, bonjour. » Répondirent-elles

-« asseyez-vous je vous prie. »

Elles lui obéirent et elles commencèrent à manger quand elles eurent fini, il les fit sortir dehors.

-« Aujourd’hui, nous allons voir quel pouvoir vous avez. »

-« Excusez-moi monsieur mais de quoi vous parlez ? » Demanda Elisabeth.

-« Montrez-moi vos colliers. » Répondit-il avec un étrange sourire.

Elles se regardèrent et sortir leur collier, il les regarda un a un.

-« Vos pouvoirs, ce sont vos pendentifs qui vous les donnent, c’est pour ainsi dire votre destin. Moi je vais vous aider à les contrôler, et aussi vous apprendre a utiliser une épée, un arc et à monter à cheval. »

-« Quel pouvoir, j’ai, moi ? » Demanda Alice.

-« Tu peux contrôler la terre. »

-« Pourquoi tu le crois, c’est ridicule. » Répliqua Morgane.

-« Morgane, à raison Alice, je ne vois pas pourquoi de simples médaillons pourraient nous donner des pouvoirs. »

-« Moi, j’y crois. De toute façon, il nous reste plus rien. »

A ce moment, le médaillon d’Alice se mit à briller de mille feux, elle sentit alors un puissant flux magique parcourir ses veines.

-« Tu viens d’avoir ton pouvoir. Et vous, vous n’y croyez toujours ? »

Morgane et Elisabeth bouche bée ne purent que constater que la magie existait et acceptèrent leur pouvoirs.

n'hesitez pas à faire des critiques et à me dire ce que vous en pensez j'ai besoin de m'ameliorer

Frenchemnt c'est trop bien
je lis beaucup de fantastique donc c'est pas compliqué de m'intérécer
mais..
(désoulé)
Je trouve qu'il n'y a pas assé de point et un peu trop de virgule...
après c'est mon avis il n'est peu ètre pas aprouvé de tous

N'empèche que c'est vachement bien

Moi qui ait corrigé tes fautes (avec ton accord ^^) j'ai pu observer ton texte de près. ^^

J'ai eu la même remarque que Babou, trop de virgules. Tu as des phrases qui durent facilemnt cinq-six lignes. Remplace par des points, ce sera tout aussi rythmé. On voit bien que tu t'attaches beaucoup à cela : le rythme. On voit bien pendant les scènes d'action, le rythme accélère (et les virgules augmentent) comme un essoufflement comme si tu vivais toi-même ton récit. ^^ C'est très agréable. De même on voit bien que pendant les scène où il n'y a pas d'action, ca se fait plus long.

Par contre, bon, je ne peux pas dire trop puisque tu n'as posté que le premier épisode -et que du coup, j'ai hâte de lire la suite, je trouve que cela manque un peu de description (je ne dirai pas explications puisqu'il y a encore d'autre chapitres (explication,notamment sur ce qu'on fait les parents pour mériter leur sort) mais j'aurais bien voulu avoir un petite description des filles, on les reconnaitrait mieux que par leur prénom (par exemple, là je suis incapable de dire qui a quel médaillon par ce que je n'ai aps vu de rapport entre les médaillons et les bijoux. ) Ou encore, du voyage, du paysage pendant le voyage...

Mais bon, ensuite, il ne faut pas que tu tues ton style en écoutant mon avis : tu as un façon d'écrire opposée à la mienne. Je m'attache beaucoup aux détails toi tu préfère aller à l'essentiel. ^^ C'est une autre façon de faire. ^^

J'attends la suite ! ^^

ps : pour tes fautes... on met "près" de quelque chose avec un accent grave. (tu emts un accent aigu.
de même on met un "vieil homme", une "vieille femme" et un "vieux chien" par exemple
Sinon, fait attention à la différence ce/se et aux sons er/é/ait à la fin du verbe. ^^ Si cela t'interresse, je peux faire une petite note avec les petits trucs facile pour s'en souvenir. (mais ne t'inquiète pas le sfautes que tu as fait sont très courante et si tu les supprimes tu supprimes 90 % des choses à corriger. ^^

J'adord trop ton histoire !!!
J'en ai écrit une aussi, le début et la fin...lol

*il serait temps d'écrir le reste! arrête de comencer des truc qe tu fini pas!*

Mais euh !!!

En tou cas la tienne tourne très bien!

J'avais trouvé un petit truc à changé mais je l'ai perdu, je te redi sa plus tard.
C'est juste une erreur de tournur de phrase.

merci a tous pour vos remarques^^

oui je sais qu'il ya beaucoup de virgules, mais quand je l'aurais finis je changerai ca ^^
comme tu l'as bien deviné Kayal, je vis moi meme mon recit, je suis les trois filles, elles sont toutes les trois ma presonnalité, vous le verrai plus tard quand je decrirait leur caractére, c'est dans le chapitre 2 je crois ^^

oui je les decris plus tard physiquement et mentalement, parce qu'avec les medaillons elles change de caractéres, et je decris les payasages plus tard aussi mais pas trop^^

voila voila

ah et j'ecris le chapitre 8 pour le moment donc il y a de la lecture ^^ pour ceux qui veulent que je mette la suite ^^

moi moi!!!

jador lire le fantastique et ton premier chapitre est super t'facon!

ok bin voila la suite ^^ bonne lecture

Chapitre 2

Les filles avaient maintenant 13 ans. Le magicien leur avait appris à lire et à écrire, ainsi qu’a monter a cheval. Pour leurs pouvoirs, elles avaient appris à le connaître, et a le maitrisé même chose pour les armes. Avec tous ça elles n’avaient aucun moment de libre tous les jours, en effet le matin elles s’entrainaient, avec leur épées et leurs pouvoir, Alice avait par ailleurs, des difficulté au maniement de l’épée et de l’arc. Et l’après midi, elles avaient des activités hétéroclites, Morgane, s’entrainait au tire, elle plaçait sa cible de plus en plus loin et ne la manquait jamais, Elisabeth, elle lisait les livres de la bibliothèque, qu’ils soient en langue elfique ou autres. Quand a Alice, allait dans la foret avec le vielle homme. Tandis qu’au soir, chaqu’une a leur tour, elles préparaient le diner. Aujourd’hui c’était Alice qui l’avait préparé.
Cette nuit, pendant qu’il mangeait en parlant de leur entrainement du lendemain, Morgane mis soudain le feu a son assiette.

-« Arrête de faire ça. » La sermonna Elisabeth en éteignant le plat.

-« Je n’en peux rien si c’est froid. »

-« Si ça ne te plait pas tu n’as qu’à le faire toi même. »

-« Ah non, chaque fois qu’elle cuit quelque chose elle le brule. »Répliqua Alice.

-« J’aime la viande bien cuite, c’est tout. »

-« Quand c’est noir, je n’appelle pas sa bien cuit mais bruler. »

-« Ca suffit les filles. » Dit le magicien qui mit fin à la discution.

4 ans avait encore passé, il était temps maintenant pour elles, de savoir certaine chose qui aurons des répercutions pour leur avenir. Le vielle homme qui les avait vu grandir pris son courage a deux main et sortis de la masure qu’il habitait. Il les appela, et s’assit sur la souche qui se trouvait prés de l’entrer. Elles arrivèrent l’une après l’autre, elles avaient beaucoup changé physiquement a cause de leur pouvoir mais aussi un peu mentalement, c’est Elisabeth qui arriva la première, au niveau mental, elle avait gardé sa maturité mais elle avait gagné en sagesse et en calme mais elle était parfois aussi très turbulente. Elle était grande avec les yeux bleus et de mi-longs cheveux châtain clair avec des mèches bleues très prononcé. Puis ce fut Morgane qui arriva, elle était la plus difficile des trois avec son caractère impulsif comme le feu, seule Elisabeth pouvait la calmée, elle avait les cheveux court de couleur bruns avec elle aussi des reflets rouges, elle était un peu plus grande qu’Elisabeth et elle avait les yeux brun-rouge. Et enfin, Alice arriva c’était la plus calme des trois et aussi la plus proche de la nature, mais elle était très réservée, ses cheveux était long et blond, tandis que ses yeux étaient verts, elle était en taille plus petite que les autres. Elles étaient maintenant tous trois assise prés de lui, prête à l’écouter.

-« Vous savez maintenant contrôler parfaitement vos pouvoirs et vous défendre, il est temps pour vous de partir. »

-« Partir ?! Mais pourquoi maitre ? »Demanda Alice.

-« Vous êtes les descendantes de trois puissantes magiciennes et il est de votre devoir d’aider les gens en difficultés. »

-« Et comment ce serait possible, aucun membres de notre famille n’était magicien et Alice n’a pas de lien de parenté avec nous. » Dit Elisabeth.

-« Alice est votre sœur, vos mères étaient sœur elles aussi et lors de votre naissance, l’une d’elles a perdu son bébé, l’autre en a eut trois, et sans que sa sœur ne le sache elle en donna un a celle-ci. »

-« Cela explique bien des choses. »Murmura Alice.

-« Non, pas tous. »Répliqua Morgane

-« C’est vos pères qui étaient magiciens. Il faut que vous sachiez aussi que vos parents n’êtes pas originaire de se pays. Il vous faudra traverser l’océan, si vous voulez y aller. »

-« Quand devons-nous partir ? »Demanda Elisabeth en se levant.

-« Le plus tôt possible. »

-« Alors nous partirons demain. »

Le lendemain, avant le lever du soleil elles sellèrent leur chevaux et se mirent en route elles prirent le chemin qui se trouvait derrière la cabane du magicien car celui de devant menait a leur village d’enfance mais elles ne devaient pas encore y retourner. L’aigle qu’elles avaient adoptée les accompagnait, il faisait de larges cercles au dessus d’elles. Alice marchait en tête suivit de prés pas Elisabeth et Morgane fermait la marche.
Le soleil se levait enfin, donnant aux sapins et aux êtres, une couleur rouge-oranger qui éclairaient les sous-bois. Elles firent une pause pour manger et pour décider où elles allaient aller. Elles décidèrent d’aller au village de Mera qui ce trouvait juste a la sortis de la forêt.
Elles y arrivèrent en début d’après-midi, elles durent payer une taxe de passage pour pouvoir entrer dans la ville. Alors qu’elles cherchaient une auberge, elles remarquèrent beaucoup d’enfant en haillons qui courrait les rues. Elles finirent par trouver une auberge de bonne fortune, elles y laissèrent leurs chevaux et leur aigle, puis partirent visiter le village pour mieux le connaître. Pendant qu’elles regardaient une vitrine, plusieurs enfants les bousculèrent, puis repartirent en courant, Morgane qui était attentive à tous, remarqua qu’ils avaient volés la bourse d’Alice. Elles partirent alors à leur poursuite et les rattrapèrent dans une petite ruelle qui se terminait en impasse. Morgane s’approcha d’eux et leur demanda de lui rendre ce qu’ils avaient pris, se qu’ils firent sans discuter, puis ils repartirent quand à elles, elles décidèrent de retourné a leur auberge. Sur le chemin du retour dans l’une des rues principales qu’elles empruntèrent, elles virent un attroupement de villageois devant un magasin de tissus. Elles se frayèrent un chemin temps bien que mal a travers la foule pour mieux voir se qu’il se passait. Deux soldats immobilisaient un homme, derrière cet homme se trouvait une femme et une jeune fille de plus ou moins 15 ans, tandis que devant lui se trouvait un autre garde qui lui lisait ses accusations.

-« Vous êtes condamné à être enfermer dans les cachots jusqu’à la fin de vos jours pour avoir vendu du tissus de mauvaise qualités au roi. »

Et les soldats l’emmenèrent. Sur le chemin de l’auberge, elles réfléchirent à un plan pour aider le marchand qui avait été arrêté, en rentrant dans l’auberge, elles n’avaient pas encore trouvé une solution. Pendant le repas du soir, Elisabeth en trouva enfin une.

-« Il nous faut de l’aide de l’intérieur du pays. »

-« Et où comptes-tu la trouver cette aide, les gens ont tous peur. »Demanda Morgane.

-« Qui te dis que je parle de quelqu’un qui a peur. »Répondit Elisabeth d’un air mystérieux.

Le lendemain, Elisabeth se leva plus tôt que ses sœurs, pris son petit déjeuner et sortis de l’auberge, elle marcha dans les petites ruelles. Quand elle finit par trouver le groupe d’enfants qu’elle cherchait la matinée était déjà bien avancée.
Elle s’approcha d’eux mais ils partirent en courant, elle les poursuivit, finissant par les bloqués dans une rue.

-« Je veux vous proposer quelque chose. »Dit-elle.

Un des garçons qui semblait être le plus âgé du groupe s’avança.

-« Ce n’est pas à nous que tu dois demander ça mais a notre chef. »

-« D’accord, et où je peux le trouver. »

-« On va te conduire à lui. »

Elle les suivit alors dans un dédale de petites rues. Ils finirent par s’arrêter devant une maison miteuse, les fenêtres étaient barricader, il n’y avait plus de porte et a la place c’était des planche en bois. Les enfants se glissèrent entre deux de ces planches et Elisabeth les suivit temps bien que mal.
A l’intérieur, il n’y avait très peu de lumière, il lui fallu un certain temps pour s’habituer a la pénombre, lorsque ses yeux furent enfin acclimater, le spectacle qu’elle vit, lui fit mal au cœur. Sur le sol, des couvertures avaient été installé et sur celle-ci, il y avait des petits à peine âge de 3 à 4 ans et autours se trouvait des jeunes filles de 9 et 10 qui s’occupaient d’eux. Le garçon qui lui avait parlé lui fit signe de le suivre, ils montèrent a l’étage et ils allèrent dans le fond du couloir a la dernière porte. Le gamin toqua et une voix grave répondit.
Elisabeth ouvrit la porte et entra dans la pièce, elle était plus éclaire que celle dans bas car la seule fenêtre qui avait n’était pas obstruer. Devant cette fenêtre ce trouvait un homme assez grand avec des cheveux noir quand Elisabeth ferma la porte il se retourna et lui sourit. Il se dirigea vers le bureau et fit signe a Elisabeth de s’asseoir.

-« Je m’appelle Ray. » Dit-il en lui tendant la main.

-« Elisabeth. »En lui serrant.

-« On m’a dit que vous vouliez me parler. »

-« C’est exacte, j’ai une proposition à vous faire. »

-« Je vous écoute. »

-« Je ne sais pas si vous le savez mais hier après-midi un marchant c’est fait arrêter. »

-« Oui, je suis au courant. »

-« Mes sœurs et moi avons décidé de le sauver mais pour ça il nous faudrait une carte des cachots et savoir ou il s’y trouve. »

-« Et vous avez pensé à moi ? »

-Oui, et bien sur en échange vous aurez de l’argent. »

Il réfléchit un moment puis lui dit.

-« Ca fait maintenant 14 ans que je suis ici, mes parents se sont fait tuer alors que j’avais 6 ans. Je suis le chef des enfants que vous avez vu, parce que je suis le plus âgé. Mais pour les venger de leur souffrance, je suis prêt à vous aider. »

-« Merci. »

Ils parlèrent encore un long moment, Ray lui fournis une carte et tous le reste. Elle rentra à l’auberge que trois heures après son départ, ses sœurs l’attendaient à une table. Elle s’approcha d’elles, commanda une bière et s’assit. Elisabeth leurs expliqua son entretient avec Ray.

-« Je lui ai laissé notre aigle pour qui nous prévienne où se trouve le prisonnier. »

Le lendemain, en se levant Alice vit que Royal les attendait devant leur fenêtre, c’était le message qu’elles attendaient, elles allaient enfin passer a l’action. Elles descendirent prendre leur petit déjeuner et pendant le repas, Elisabeth donna les directives à suivre. Morgane allait passer la matinée devant les geôles pour savoir les heures des tours de gardes, quand à Alice et Elisabeth, elles allaient prévenir la famille du marchand et la faire quitter le village.
Après-midi, tous était en place pour l’évasion. Elles se dirigèrent vers la prison, et attendirent le tour de garde suivant, elles avaient prévu d’assommer les gardes qui allaient arriver et de prendre leur place.
Trois ombres furtives se faufilèrent dans la nuit que la lune éclairait, elles passèrent la porte principale de la prison après avoir assommé les gardes à l’entrer de celle-ci. A l’intérieur, les couloirs étaient éclairé de troches, Elisabeth en pris une pour qu’elles puissent avancer. L’odeur qui régnait dans ces cachots était répugnante, c’était un mélange de putréfaction et d’excréments. Alice, regarda une cellule à travers les barreaux et ce qu’elle y vit la fit vomir, à l’intérieur il y avait un cadavre en train de pourrir et que les rats avaient déjà à grignoter. Elisabeth l’emmena plus loin et elles rejoignirent Morgane qui regardait le corps inanimé du soldat qui surveillait l’escalier.

-« Tu l’as tué ? »Demanda Alice.

-« Oui. »Répondit-elle calmement.

-« On a pas le temps de parler de ça. »Repris Elisabeth.

Elles montèrent l’escalier et se dirigèrent vers la cellule où se trouvait le marchand. Apres avoir mis hors service le garde, elles lui prirent ses clés et libèrent le prisonnier puis ils sortirent de la prison. Ils empruntèrent les petites rues pour sortir de la ville, là les attendaient la femme et la fille du marchand déjà sur leur cheval. Avant de monter sur cheval le marchand les remercia puis partis au galop avec sa famille. Quant à elles, elles retournèrent à leur auberge pour dormir le reste de la nuit.
Le lendemain, elles se levèrent un peu avant midi. Lorsqu’elles dinèrent, autour des autres tables les conversations allaient bon train sur l’évasion miraculeuse du marchand et sa famille et chaqu’un y mettait de sa petite histoire, certains disaient les avoir vu passé escorté par plus de cents soldats s’étend rebelle contre le seigneur du village, d’autre affirmaient les avoir vu sauté de toit en toit pour éviter d’être repérer. Toutes ces histoires, les fit sourire. Après le repas Elisabeth demanda à Morgane de s’occuper du seigneur du village comme c’était prévu.

Une bonne heure plus tard, Morgane ce trouvait sur le toit de la maison la plus proche du palais, elle avait pris avec elle son arc et son carquois. Sur l’une de ses flèches étaient accroché un parchemin. Elle encocha cette flèche a son arc et tira la flèche fendit les airs et alla se figé au dessus de la tête du seigneur. Celui-ci devenu blanc, après s’être assuré qu’il lisait bien le message, elle s’éclipsa.

Au palais, un des gardes de seigneur ce mis à lire le message.

« Nous vous prévenons, si vous continuez à maltraiter les gens de ce village, nous le s’aurons et ce ne sera pas au dessus de votre tête qu’ira se plante une flèche mais entre vos yeux. »

Le seigneur fou de colère sortis son épée et décapita le garde et appela le chef de sa garde.

-« Qu’on me retrouve ces personnes. »

Il s’inclina et partis.

Super chapitre
mais à certain moment il y a beaucoup de 'elle'
(après c'est mon point de vue)

mais c'est une chitre que j'ai adorée
j'atend la suite ^^

oui c'est vrai il y a beaucoup de "elles"
mais si je citait a chaque fois leur prenom se serai chiant a lire, non?
Merci pour ton avis Babou ca fait plaisir d'entendre que ce qu'on ecrit est apprecier
je mettrai la suite bientot ^^

oui c'est sur que mettre leur prénom serais lassant à force mais il y a d'autre façon de les citer.Ca va peut ètre te paraitre ironique mais la tu pouvais mettre des virgules ou des mots de liaison pour remplcer les "elles".
style:Elles y arrivèrent en début d'après midi,elles durent payer une taxe...

Elles y arrivèrent en début d'après midi et durent payer une taxe...

après ce n'est que mon avis^^

mais ne t'en fais pas, ton avis est tres bien et je vais le prendre en compte, et puis je le repete, je dois relire l'histoire quand elle sera finis pour modifier^^ donc tout vos avis me serons d'une grande aide ^^

J'ai pas encore lu, >.< Mais à voir le petit débat qui suit je peut moi aussi te proposer quelques petites astuces...

Remplacer par des noms (les jeunes filles, les fillettes, les orphelines, nos héroïnes... Ou bien les désigner par des caractéristiques : la brune, la plus grande, la plus jeune, la porteuse du collier de feu... Ou remodeler un epu tes phrases pour utiliser d'autres mots de liaison :

Lorsqu'elles y arrivèrent en début d'après midi, celles-ci durent payer une taxe.

Ou bien dans cet exemple, même carrément changer de sujet ! On peut passer des jeunes filles à l'autre chose importante : la taxe.

Un taxe était dûe pour tout nouvel arrivant.

Ensuite, tu peux trouver un moyen d'atténuer l'effet de répétition au niveau des prénoms par exemple, au lieu de dire toujours "Alice..., Alice..., " Tu peux nuancer "Alice... La douce Alice..."

Ensuite, n'oublie de ne pas oublier ton style ^^

Merci pour ton avis Kayal
tes idées ne sont pas mauvaise

généralement c'est a ca qu'on voit les personnes qui lise beaucoup ou non ^^
mais (j'vais passé pour une personne qui critique tout mais c'est pas le cas)
peut ètre que la porteuse du collier de feu est un peu long
j'ai beau cherher je vois pas comment on pourrais remodeler cette phrase :p

mais je le répète c'est mon avis et je ne critique en aucun cas les idées c'est juste que ca me passe par la tête c'est tout ^^

oui c'est vrai qu'on peut voir ceux qui lise beaucoup^^
mais j'accepte parfaitement va remarque ca m'aide beaucoup donc je vous remercie encore une fois ^^

Bin perso, Babou, moi je ne me vexe pas quand on me critique car je part de la base que ca veux dire qu'il y a un potentiel derrière et une chance de devenir meilleur encore !

C'est vrai que après coup 'porteuse gnan gnan' c'est assez long... Mais sur le moment ca me parraissait une bonne idée et dans mes écrits j'ai tendance à beaucoup détailler, dès lors les groupes nominaux longs me sont habituels. Même s'il est vrai que ca ne colle pas beaucoup avec le style de notre chère Vanessa. ^^

c'est vrai j'aime pas trop faire des groupes nominaus trop longs, mais quand j'ecris j'aime bien raconter des trucs longs ^^
je sais pas expliquer mais ecrire pour moi c'est comme un besoin c'est comme dessiner mais ecrire c'est pire, je peux pas m'en empecher
j'ai meme pas encore finis ce roman ci, que j'ai fais dans un cahier le debut d'un autre et je viens de commencer un skyblog sur une histoire

WOUA, je suis toujours fan ^^

je suis d'accord avec kayal pour les tournure de phrase. et sinon j'ai vu que tu a écrit: "Le vielle homme qui les avait vu grandir pris son courage a deux main et sortis de la masure qu’il habitait. "
Personnelement j'aurai mis "de la masure où il habitait."

Et aussi: "Alice marchait en tête suivit de prés pas Elisabeth et Morgane fermait la marche."
Tu aurai du mettre "Alice marchait en tête suivit de près par Elisabeth alors que Morgan fermait la marche" ou quelque chose comme ça.

Après y'a peut être que moi qui est pas compis du premier coup le sens de ta phrase. ^^

"surment..."

Sinon c'est une très belle histoire !

Merci Saeko pour tes remarques^^
de tout de façon, je devrai relire l'histoire quand je l'aurais finis
mais pour le moment la ou j'en suis je n'ai plus d'idée
par contre si tu aime mes histoire je peux te passer deux blogs sur les quels j'ecris des histoires

Avec grand plaisir ^^

J'ador lire, c'est une grande passion.